jeudi 20 octobre 2011

Un an déjà.

Il y a un an déjà, mon médecin lors de la visite mensuelle pour ma grossesse, m'annonçait "qu'il allait falloir s'arrêter", "s'arrêter de quoi?" lui ai je rétorqué. "De travailler Madame" ... c'était le choc... Mon col trop court lui faisait craindre un accouchement prématuré surtout pour un premier bébé.

Et je crois que c'est ce jour là que j'ai réalisé que désormais il allait falloir compter pour deux, jusque là je n'avais rien changé à mon rythme de vie, beaucoup de voiture et d'embouteillage pour aller au boulot, ou beaucoup de marche pour rejoindre le bureau depuis la gare...
Ce jour là j'ai été prise de panique. Peur que le petit être que j'abritais souffre. Peur de le perdre.

Et c'est aussi à partir de ce jour là, que j'ai ouvert les yeux sur beaucoup de choses, sur ce (et ceux!) qui était important pour moi et mon bébé. A partir de ce jour là j'ai revu mes priorités. Aujourd'hui elles sont toujours les mêmes, mon bébé, mon homme et moi. NOTRE famille. Je fais fi des mauvaises influences, des mauvaises ondes (et aussi des mauvaises langues)... je proscris la langue de bois et je ne mâche plus mes mots. Et je pense que dans l'ensemble durant cette année qui vient de passer, les décisions que j'ai prises étaient les bonnes, pour nous.

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2 commentaires:

  1. Oui c'est vrai il faut penser pour deux. Moi j'ai fait beaucoup de route jusqu'au 8eme mois mais pas d'arret plus tot car tout allait bien au niveau du col. Tant mieux je vais dire, mais j'etais crevé crevé...

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  2. pour ma part, je ne me suis vraiment rendu compte que j’avais un bébé en moi que quand je l'ai sentis bougé.... après oui, j'ai commencé à penser pour deux... et pi pour trois... puis pour quatre... à sans oublié pour l'homme aussi! lol

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